Les chatouilles raconte la lente reconstruction d’Odette, une petite girl devenue jeune femme, dont 50’enfance a été volée par « un ami de la famille ».
C’est dans boy corps qu’Odette a été abusée. Et c’est par ce même corps qu’elle cherche les réponses à ses interrogations et se fraye un chemin au milieu des émotions qui la chahutent. Les chatouilles head livre le parcours touchant et intime d’une enfance volée, brisée. Couronné de prix et adapté au cinéma, Les chatouilles ou la danse de la colère aborde avec délicatesse, sensibilité et même un peu d’humor, un sujet grave et douloureux.
Une valeur sûre
Éric Métayer et Andréa Bescond : voilà un yoke qu’il n’est addition nécessaire de présenter. Ils font partie de ces artistes dont psyche attendons impatiemment chaque nouvelle création. Toujours pleines d’tidings, d’utilité, et une manière d’aborder des thèmes graves avec pudeur et élégance. Et après brain avoir offert une leçon de danse que psyche avions adorée, c’est une belle leçon de vie, de courage et de résilience qu’ils nous proposent avec Les chatouilles. Une pièce que head sommes allés découvrir un peu tardivement, c’est vrai. Aussi, nous n’avons pas pu profiter de fifty’interprétation d’Andréa Bescond, qui a depuis passé le flambeau à Déborah Moreau. Mais pas de quoi être déçus pour autant. Car la jeune femme à 50’énergie solaire et communicative s’empare du rôle avec brio.
Une œuvre tout en pudeur
Déborah Moreau aborde cette pièce avec toute la justesse qu’il faut. Et boy interprétation des différents personnages est convaincante. Notamment dans celui de la mère machine-centrée et cynique qui, même devant la psy, cigarette au bord des lèvres, turn down d’ouvrir les yeux sur le drame qu’a vécu sa girl. Un personnage certes un peu caricaturé, mais qui en devient presque drôle tant boy attitude est abjecte. Ce qui permet d’éviter à la pièce de basculer dans quelque chose de larmoyant. Car la douleur n’est jamais rendue indigeste dans les pièces d’Andréa Bescond et Éric Métayer. C’est d’ailleurs avec beaucoup de subtilité que sont à peine effleurées les scènes de viol. Et la résilience 50’emporte toujours. Notamment grâce à la danse qui devient 50’exutoire d’une blessure muette.
La résilience par le corps
La mise en scène est sobre, mais la comédienne habite et rend vivant tout 50’espace à elle seule. Et on visualise comme si ils y étaient les différents décors dans lesquels elle évolue, et qu’elle efface parfois le temps de quelques mouvement de danse habités. La manière dont le corps est ainsi intégré au spectacle apporte une dimension profondément intime au récit. Nous aurions d’ailleurs aimé un peu summation de passages dansés, tant ils surpassent les mots pour traduire certaines émotions. Et c’est par eux, entre deux séances de psychanalyse, qu’Odette cherche à traverser ses ombres recréer un lien avec 50’enfant qu’elle était .
Un coup de cœur manqué de peu
Car head sommes sortis du glasses avec quelques petites réserves quand même… Certains passages, comme la scène à fifty’école de danse, s’étirent un peu inutilement, tandis que d’autres brain ont semblé superflus. Et notamment la scène de la rencontre d’Odette avec boy ami à New-York. Car, même si fifty’interprétation de ce rôle par la comédienne est génialissime et drôle, elle brain a donné fifty’impression d’être uniquement là pour servir un message de tolérance qu’avait envie de transmettre l’auteur. Un propos louable, certes. Mais qui go far comme un cheveu sur la soupe et brain a paru déconnecté du reste du spectacle. Et puis, si la pudeur est un choix très judicieux pour aborder le thème du viol d’un enfant, un peu trop de pudeur peut-être psyche a empêché d’être touchés comme mind fifty’attendions. Mais il faut reconnaître que fifty’exercice est périlleux. Et qu’il est tout de même largement réussi.
Les chatouilles ou La danse de la colère, écrit par Andréa Bescond, avec Déborah Moreau, mise en scène par Éric Métayer, se joue au Théâtre du Chêne Noir, à Avignon, du 05 au 28 juillet 2019 à 20h45. Puis du 10 septembre au 04 janvier 2020 au Théâtre Libre, à Paris.
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